La possibilité de toute intuition relativement à la sensibilité consiste en ce que le divers de l'intuition est soumis aux formes a priori de l'espace et du temps. Cette même possibilité, relativement à l'entendement, consiste en ce que le divers de l’intuition est soumis aux conditions de l’unité originairement synthétique de l’aperception.
Dans le premier cas ce divers nous est donné, dans le second cas les représentations sont liées dans une conscience.
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"L'entendement est le pouvoir des connaissances. Celles-ci consistent dans la relation déterminée de représentations données à un objet; mais l'objet est ce que dans le concept de quoi le divers d'une intuition donnée se trouve réunie".
Cette réunion requiert l'unité de la conscience.
"L'unité de la conscience est cela seul qui constitue la relation des représentations à un objet, donc leur validité objective : c'est ainsi qu'elles deviennent des connaissances".
Dans le premier cas ce divers nous est donné, dans le second cas les représentations sont liées dans une conscience.
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"L'entendement est le pouvoir des connaissances. Celles-ci consistent dans la relation déterminée de représentations données à un objet; mais l'objet est ce que dans le concept de quoi le divers d'une intuition donnée se trouve réunie".
Cette réunion requiert l'unité de la conscience.
"L'unité de la conscience est cela seul qui constitue la relation des représentations à un objet, donc leur validité objective : c'est ainsi qu'elles deviennent des connaissances".