Ainsi lorsque l'intuition est présentée de manière telle qu'elle peut être sujette à l'application d'une certaine règle (combinaison de trois lignes droites) dont nous avons conscience le triangle apparait comme objet, il est pensé comme objet. Cette unité de la règle -ici la combinaison de trois droites- détermine le divers et le limite à des conditions rendant possible l'unité de l'aperception; et le concept de cette unité est la représentation de l'objet = X que je pense par l'intermédiaire de ces prédicats du triangle.
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"Toute connaissance exige un concept [qui] quant à sa forme est quelque chose de général et qui sert de règle" [ici il ne s'agit pas des règles vu ci-dessus-agancement de trois droites- mais de règle de liaison entre deux concepts puisque la connaissance résulte déjà d'une synthèse, c'est-à-dire d'une mise en rapport de deux concepts].
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"Ainsi le concept de corps sert-il de règle, selon l'unité du divers qu'il permet de penser, à notre connaissance des phénomènes extérieurs. Mais il ne peut constituer une règle des intuitions que dans la mesure où il représente pour des phénomènes donnés...l'unité synthétique dans la conscience que nous en avons. Par exemple, le concept de corps rend nécessaires, dans la perception de quelque chose d'extérieur à nous, la représentation de l'étendue et, avec elle, celle de l'impénétrabilité, de la forme, etc. ".
En définitive si le concept de corps est nécessaire à la synthèse du divers donné, présenté, il est néanmoins lui-même synthèse, dans la conscience, ou même par la conscience, vue alors comme activité synthétisante, de concepts purs.
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"Il faut donc que se puisse trouver un principe transcendantal de l'unité de la conscience dans la synthèse du divers de toutes nos intuitions" . "Cette condition originaire et transcendantale n'est autre que l'aperception transcendantale".
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"Toute connaissance exige un concept [qui] quant à sa forme est quelque chose de général et qui sert de règle" [ici il ne s'agit pas des règles vu ci-dessus-agancement de trois droites- mais de règle de liaison entre deux concepts puisque la connaissance résulte déjà d'une synthèse, c'est-à-dire d'une mise en rapport de deux concepts].
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"Ainsi le concept de corps sert-il de règle, selon l'unité du divers qu'il permet de penser, à notre connaissance des phénomènes extérieurs. Mais il ne peut constituer une règle des intuitions que dans la mesure où il représente pour des phénomènes donnés...l'unité synthétique dans la conscience que nous en avons. Par exemple, le concept de corps rend nécessaires, dans la perception de quelque chose d'extérieur à nous, la représentation de l'étendue et, avec elle, celle de l'impénétrabilité, de la forme, etc. ".
En définitive si le concept de corps est nécessaire à la synthèse du divers donné, présenté, il est néanmoins lui-même synthèse, dans la conscience, ou même par la conscience, vue alors comme activité synthétisante, de concepts purs.
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"Il faut donc que se puisse trouver un principe transcendantal de l'unité de la conscience dans la synthèse du divers de toutes nos intuitions" . "Cette condition originaire et transcendantale n'est autre que l'aperception transcendantale".