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L'éternité du présent

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les fautes d'orthographes sont comme des écueils pour les rationalistes et les signes* du lieu de leurs naufrages pour les personnes qui gardent leurs intelligences hors des courants dangereux qui les entourent...


*signes si il en est que l'esprit des machines correctrices est bien du coté des rationalistes...


"Les fautes d'orthographe", "de leur naufrage", "leur intelligence", "s'il en est", "du côté". Une phrase commence par une majuscule et fini par un point. Niveau linguistique Cours Elémentaire, le programmateur ! Pour ne rien dire de l'absence de sens de cet échantillon. Tout cela en 6 lignes !

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...aucune causalité grammaticale (orthographe y comprit) ne peut atteindre le sens de la pensée, si ce n'est par accident et en forçant la signification des mots jusque dans l'alignement avec une concordance de temps et de lieu par lesquels le sujet s'exprime, dit autrement le langage ne dit rien il n'est que l'écho de la pensée, mais parfois cet écho résonne/raisonne longtemps et cela produit la rigoureuse logique des gens qui raisonnent ou résonnent sans but dans la logique de leur langage...

j'ai personnellement abandonné la limite signifiante du  mot pour laisser le sens de la pensée s'exprimer librement (d'où un certain oubli de l'attention pour l'orthographe), là aussi c'est la marque du choix de l'éternité de l'intelligence sur le temps du raisonnement, comme je l'expliquerais dans un prochain post...(avec toutes les conséquences sur la vie sociale)

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...aucune causalité grammaticale (orthographe y comprit) ne peut atteindre le sens de la pensée, si ce n'est par accident et en forçant la signification des mots jusque dans l'alignement avec une concordance de temps et de lieu par lesquels le sujet s'exprime, dit autrement le langage ne dit rien il n'est que l'écho de la pensée, mais parfois cet écho résonne/raisonne longtemps et cela produit la rigoureuse logique des gens qui raisonnent ou résonnent sans but dans la logique de leur langage...

j'ai personnellement abandonné la limite signifiante du  mot pour laisser le sens de la pensée s'exprimer librement (d'où un certain oubli de l'attention pour l'orthographe), là aussi c'est la marque du choix de l'éternité de l'intelligence sur le temps du raisonnement, comme je l'expliquerais dans un prochain post...(avec toutes les conséquences sur la vie sociale)


Delirium tremens.

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(après avoir dessaoulé...)


La question de la distinction entre vie corporelle et vie spirituelle à partir de la distinction entre matière, forme et privation (cette dernière ne devant absolument pas être confondue avec la négation, car ce qui est dit  "en privation de" c’est uniquement ce qui est en puissance de devenir, et pas la séparation ou la destruction de tel ou tel accident de la matière) et des quatre causes qui y font suite…
 
 
Pour la recherche philosophique et spirituelle qui constaterai que la continuité de la pensée est garante de quelque chose de l’éternité du mouvement comme permanence d’un état de conscience stable, (ataraxie, za zen, contemplation naturelle, etc.) nous pourrions apporter une précisions qui se prendrait de l’émergence de la vie en tension vers une forme immobile, et bien que cet « objectif » soit semble être antinomique avec la structure énergétique de la matière qui est toujours en mouvement et pareillement avec le déploiement de la vie qui n’a jamais un repos total, mais uniquement des « moments de concentrations et de dispersions » nuancés, (l’impermanence bouddhiste ou le Pánta rheî Πάντα ῥεῖ héraclitéen) la recherche d’une cause éternelle de ce qui est a toujours sous-tendue les diverses modalités d’autonomies des humains, ou tout au moins des personnes qui, dégagées de la nécessité quotidienne des efforts pour se rassasier et autres besoins physiologiques, ont entreprit de projeter une pensée en réponse à « l’étonnement » en face des limites, physiques du corps et psychique de l’esprit…
 
Est-ce dans la caste des prêtres de l’ancienne Egypte, ou dans celle des brahmanes de l’Inde, ou encore chez les lettrés de la Chine des Shang, peu importe pour le moment, ce qui est notable, c’est que la recherche de la durée indéterminée c’est longtemps confondue avec la continuité vitale et culturelle de la mémoire collective, sous une forme de croyance ou de cosmogonie, ou encore de « personnification de l’éternité dans la personne du pharaon ou de l’empereur (pseudo-divinisation)…
 
À partir de là une philosophie réaliste reprit la question en découplant la durée de la continuité, ou dit autrement en recherchant les causes propres du mouvement selon telle réalité définie, ainsi la distinction entre matière, forme et privation pour Aristote apparut répondre aux diverses lieux de contacts des corps entre eux et des corps en eux mêmes, car avoir distingué la durée de la continuité, (qui est une des facultés de l’acte intellectuel), tant au plan de la matière que dans la successivité des corps vivants, s’est assortit de la démarcation des quatre causes, matérielle, formelle, efficiente et finale pour justifier l’exemplarité du corps/individu tant du côté de la matière, que du côté de la vie, et même de l’esprit…
 
 
La vie spirituelle (mais nous pourrions aussi écrire intellective et volitive car il s’agit bien de la vie de l’esprit qui est composée de ces deux dimensions) qui est l’extrêmalité du mouvement selon 1/  la forme, 2/ la croissance et 3/ le lieu, 1/ puisqu’elle résume en elle une disponibilité formelle de l’information, par le concept, 2/ puisqu’elle s’accroit par la mémoire composée et recomposée par l’abstraction de l’imaginaire, 3/ puisqu’elle s’assure de son « lieu propre » par le raisonnement et par la communication, cette vie spirituelle peut être aussi vu selon les quatre causes : matérielle par la quantité qualifiée des l’informations, formelle par la plus ou moins « ressemblance » de l’information saisie avec sa propre nature intellective et volitive, efficiente par la capacité réactive et active qu’elle dispense à travers la présence du corps et par le déploiement de la conscience, et enfin finale dans le choix intellectif (intention) et volitif (motivation) qui désigne (dans une unité fluctuante de l’intelligence et de la volonté) telle réalité comme nécessaire (besoins), jouissive (envies), réalisable (projets) ou désirable (désir)…
 
 
De là qu’est ce que l’éternité ?
 
Est-elle dans l’acte de la vie spirituelle ou dans un état de l’esprit vu comme l’extrèmalité de la singularité humaine ?
 
 
À suivre…

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De là qu’est ce que l’éternité ?
 
Est-elle dans l’acte de la vie spirituelle ou dans un état de l’esprit vu comme l’extrèmalité de la singularité humaine ?
 
Quand nous voulons distinguer l’acte de la puissance, nous sommes devant une double possibilités, soit de placer l’antériorité de la puissance et alors nous disons que c’est bien en puissance que les réalités existent déjà « comme matière informe » (la matéria prima des anciens) et que ces réalités corporelles sont en acte, c’est-à-dire sont « informée de l’extérieur » par une cause matérielle (érosion, forces nucléaires, électromagnétisme, gravitation etc.) ou « informée de l’intérieur » par une cause vitale (reproduction, croissance, évolution biologique d’espèce, épigénétique etc.)…
 
Mais si nous proposons que l’acte précède la puissance, c’est-à-dire que le corps soit l’aboutissement non seulement de sa formation à partir d’une matière en puissance, mais que le premier moment de son devenir soit déjà un acte, alors nous pouvons poser la question :
 
quelle est la qualité de cet acte ?
 
Qui n’aurait pas d’antécédent autre que lui même, qui serait indépendant de toute évolutivité et serait aussi indissociablement uni à la forme d’un corps matériel non-vivant ou à celui d’un corps vivant, et surtout que le principe même de son action soit d’une telle efficacité que la notion même du temps comme mouvement étendu dans l’espace, ne le conditionne pas…
 
Cet acte regardé comme antérieur à toutes les possibilités de la matière, certains l’on appelé « acte pur », d’autres « principe des principes », d’autres encore « cause première de tout », bref, ce n’est pas en essayant de lui donner un nom ou même en essayant de le définir qu’il est ici question, mais de le découvrir comme seule occasion de donner un sens à « l’éternité vitale » car au sujet de l’infini formelle de la matière de notre corps (voir note 1) il est évident que l’examen de la formation « des corps » en science physique, a encore des réponses a apporter…
 
Si nous pouvons dépasser la confusion entre « éternité du temps du vivant » et « infini du temps de la matière du corps vivant », nous pouvons aussi entrevoir en quoi la qualité l’acte antérieur à la puissance a quelque chose d’immatériel, je m’empresse de dire que même comme acte il n’existe dans le sujet qu’associé à une puissance: son devenir matériel (voir note 2), puisque la corporéité du vivant est justement l’unité effective d’une puissance en acte, ou comme le dit Aristote lorsqu’il veut parler de ce principe vital : « : l’entéléchie (qui veut dire : être en acte aillant sa fin en lui même) de chaque chose survient naturellement dans ce qui est en puissance cette chose, autrement dit dans la matière appropriée. Que l’âme soit donc une certaine entéléchie (ἐντελέχεια) et la forme de ce qui possède la puissance d’avoir une nature déterminée, cela est évident d’après ce que nous venons de voir. » (De anima livre II Chap .2)
 
Si donc une éternité peut être dite : passage de la temporalité du corps matériel à l’intemporalité d’un temps vital, ce sera aussi par la qualité de cet acte vu comme antérieur à la puissance et des diverse qualité qu’un acte peut avoir pour exercer ce passage, seule la qualité propre à la relation en est capable…
 
 
C’est ce qui sera vu par la suite…
 




 
Note 1 (le texte qui suit est une composition que j’ai extrait d’un site de réflexion philosophique sur les possibles accord entre la philosophie et les sciences)
 
la nature a horreur du vide ?
(position qu'Aristote propose par l’affirmatif à propos de la nature vivante et pas de la matière comme dans ce qui est dit plus bas, car le but de cet exposé était bien de rester dans la confusion de l'infini en puissance et de l'éternité en acte)
 
Quatre points où les Anciens s’accordent sur l’infini.
On voit donc par là qu'un tel examen convient aux physiciens. C'est avec raison aussi que tous font de l’infini un principe; en effet il est impossible qu’il existe en vain ni qu’il ait aucune autre valeur que celle de principe: tout en effet, ou est principe ou vient d’un principe; or, il n’y a pas de principe de l’infini; ce serait en effet sa limite. De plus, il est non-engendré et non corruptible, en tant qu’il est un principe; car nécessairement toute génération reçoit une fin et il y a un terme à toute corruption. C’est pourquoi, disons-nous, il n’a pas de principe, mais c’est lui qui paraît être principe des autres choses, et les embrasser et les diriger toutes, ainsi que le disent  tous  ceux  qui  n’admettent  pas  d’autres  causes  à  côté  de  l’infini,  comme  seraient l’intelligence,  ou  l’Amitié;  et  encore,  c’est  la  divinité,  car  il  est  immortel  et  impérissable, comme le veulent Anaximandre et la plupart des "physiologues".
 
Cinq raisons de la croyance à l’infini. (je précise que le mot croyance ici a dû être employé pour essayer de marquer un choix non-rationnel, en vu de minimiser l’impact de ce qui est dit plus loin sur l’infini) 


La  croyance  à  la  réalité  de  l’infini  se  tire  de  cinq  raisons  principales:
 
1/ du  temps, car il est infini.
2/de la division dans les grandeurs, car les mathématiciens eux aussi utilisent l’infini.
3/ en outre de ce que, si la génération et la destruction ne s’épuisent pas, c’est seulement grâce à l’infinité de source d’où est pris ce qui est engendré.
4/ en outre de ce que le limité est limité à une autre chose, de sorte que rien ne sera limite, s’il faut que toujours la limitation se fasse entre deux termes.
5/ Surtout, enfin, la plus forte raison qui crée la difficulté commune à tous, la voici: c’est parce que la représentation ne l’épuise point que le nombre paraît être infini; et les grandeurs mathématiques, et ce qui est hors du ciel. Mais si la région extérieure est infinie, le corps aussi doit être infini, et les mondes; pourquoi en effet le vide ici plutôt que là?
ainsi la masse qui emplit, pour peu qu’elle soit à un seul endroit, est partout. Et encore, même s’il existe vide et lieu infini; il faut qu’il y ait aussi un corps infini; en effet, entre le possible et l’être, il n’y a aucune différence, dans les choses éternelles.
Difficultés (soulevée par Aristote) :
« L'examen de l’infini présente des difficultés à le nier et a l’'affirmer on en rencontre de nombreuses. En outre se pose la question de sa nature, est-il substance ou attribut essentiel à une  nature,  ou ni l’un ni l’autre, mais n’en existe-t-il pas moins un infini ou des choses infinies en nombre ? Or,  c’est  surtout  l’affaire  du  physicien  d’examiner  s’il  existe  une grandeur sensible infinie.
Diverses acceptions de l’infini.
D'abord donc, il faut définir les différentes conceptions c’est d’abord ce qui ne peut par nature être parcouru, comme la voix est invisible ensuite ce qu’on peut parcourir et qui est sans fin, ou ce qu’on peut à peine parcourir ou ce qu’on peut par nature parcourir mais qui ne se laisse pas parcourir et n’a pas de fin puis tout est infini ou par composition ou par division, ou par les deux à la fois. »
 
Note 2
De anima livre II chap. 2
« En effet la substance se prend, comme nous l’avons dit en trois sens, dont l’un désigne la
forme, un autre la matière, un autre enfin le composé des deux, la matière étant puissance. et la forme, entéléchie; d’autre part, puisque c’est l’être animé qui est ici le composé de la
matière et de la forme, le corps ne peut pas être I’entéléchie de l’âme; c’est l’âme qui est
l’entéléchie d’un corps d’une certaine nature. Par conséquent, c’est à bon droit que des
penseurs ont estimé que l’âme ne peut être ni sans un corps, ni un corps: car elle n’est pas un
corps, mais quelque chose du corps. Et c’est pourquoi elle est dans un corps, et dans un corps
d’une nature déterminée et nullement à la façon dont nos prédécesseurs l’adaptaient au corps,
sans ajouter aucune détermination sur la nature et la qualité de ce corps, bien qu’il soit
manifeste que n’importe quoi ne soit pas susceptible de recevoir n’importe quoi. C’est à un
même résultat qu’aboutit d’ailleurs le raisonnement »
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