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Les rendez-vous philosophiques.

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4 participants

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Suite de ce séminaire :
Mardi 25 octobre
Président de séance : Pascal Sévérac (Univ. Paris-Est Créteil)

10h00 - 10h45 : Danilo Bilate (Université Fédérale de Rio de Janeiro) : « Vers une théorie du corps chez Nietzsche : dialogue avec Héraclite et Spinoza »



10h45 - 11h30 : Blaise Benoît (Univ. Nantes) : « La généalogie nietzschéenne de “Spinoza” : affirmer la volonté de puissance contre la pulsion de conservation ? »



11h30 - 11h45 : pause

11h45 - 12h30 : André Martins (Université Fédérale de Rio de Janeiro) : « Réflexions sur la causalité chez Spinoza et Nietzsche »



12h30 - 14h30 : déjeuner

14h30-15h15 : Fredrika Spindler (Södertörns University, Suède) : « La connaissance, le corps et la raison »



15h15-16h00 : Florent Jakob (Univ. Nanterre) : « Exercices de la puissance : loyauté et systématicité »



16h00 - 16h15: pause

16h15 - 17h00 : Emmanuel Ionnanidis Damigos (Univ. Paris IV) : « L'insignifiance de la mort. Désir, puissance et centralité de la vie chez Spinoza et Nietzsche »

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Séminaire « Sartre et la naissance des idéologies »


Séminaire organisé l’ITEM (Institut des Textes et Manuscrits modernes) et le CIEPFC (Centre International d’Etude de la Philosophie Française Contemporaine), Ecole normale supérieure.




« SARTRE ET LA NAISSANCE DES IDEOLOGIES : TEXTES ET TENSIONS, 1931-1965 »

I. Présentation

Organisation et responsabilité académique : ITEM, CNRS-ENS, directeur : Pierre-Marc de Biasi ; CIEPFC, CNRS-ENS, directeur : Frédéric Worms.

Animation : Vincent de Coorebyter, docteur en philosophie, membre de l’équipe Sartre de l’ITEM, membre de la Classe des Lettres de l’Académie royale de Belgique, co-directeur scientifique des Etudes sartriennes, directeur général du Centre de recherche et d’information socio-politiques (CRISP, Bruxelles).

Durée : 24 heures de cours, organisées en 6 séances de 3 heures et une journée d’étude de 6 heures.

Participation : entrée libre à toutes les séances et à la journée d’étude.

Prolongements : le séminaire servira de base pour la rédaction d’un livre sur le même thème par Vincent de Coorebyter, livre qui croisera les principales séances du séminaire et pourra s’alimenter des discussions avec les participants. L’ouvrage, à paraître fin 2012, devrait comprendre un large extrait d’un manuscrit inédit de Sartre, qui fera l’objet de la dernière séance de travail du séminaire.

II. Intention générale

La question de la naissance des idéologies, lieu commun des sciences humaines au XXe siècle, n’est plus guère abordée aujourd’hui. Elle reste pourtant d’actualité dans un monde qui, au lieu d’assister à la mort annoncée des idéologies, se caractérise par leur foisonnement. Située au carrefour de plusieurs disciplines, cette question constitue un levier heuristique inépuisable si l’on admet qu’une idéologie ne s’explique jamais par les seuls services qu’elle est censée rendre à un secteur de la société. Si l’on dépasse cette vision fonctionnaliste, la question des conditions de naissance, du régime de croyance et du type de vérité des idéologies insiste et résiste.

L’objectif de ce séminaire est de revisiter cette question abyssale en suivant un fil conducteur précis : son traitement par Sartre, dont on ignore souvent qu’il l’a affrontée à plusieurs reprises dans son parcours intellectuel, en lui réservant un sort chaque fois différent. Les multiples tentatives de Sartre, consignées dans des textes peu lus et, pour une part, publiés à titre posthume, constituent un véritable atelier de pensée, qui a été le théâtre d’une radicalisation tendancielle de son option matérialiste initiale, mais sans que Sartre se soit jamais arrêté à une doctrine. Sartre n’a jamais sacrifié à l’une ou l’autre des simplifications classiques (fonctionnalisme ou causalisme), pas plus qu’il n’a défini l’idéologie par la concordance d’une pensée avec des intérêts de classe. Son matérialisme est à la fois plus subtil et plus radical, car il enchâsse l’idéologie au cœur des rapports personnels avec la matière, ce qui en fait l’expression d’une aliénation (puisque la matière impose son inertie) mais aussi de la liberté (puisque nous entretenons un rapport actif à la matière). Il est aussi plus inquiet, Sartre n’ayant jamais admis le rabattement des valeurs sur de simples faits sociaux. Il ne perd pas de vue qu’il cherche une origine pratique à un régime de normes idéales, de sorte qu’il lui faut interroger le mode d’affirmation de ces idéalités qui restent irréductibles aux conditions matérielles de leur émergence.

Outre le fait que cette problématique permet de dévoiler un pan ignoré de la pensée de Sartre, elle se situe au carrefour des travaux menés par l’ITEM et par le CIEPFC. Une partie des textes de Sartre sur l’idéologie restant à l’état de manuscrit, le séminaire sera l’occasion d’établir ces textes, de les porter pour la première fois à la connaissance du public, de fixer leur statut dans la genèse de l’œuvre et de réfléchir à la spécificité du traitement qu’il convient de réserver à des écrits non publiés par leur auteur. Cette approche génétique, axée sur les manuscrits, se doublera d’une seconde approche qui situera Sartre dans l’évolution de la pensée française contemporaine, sa réflexion sur les idéologies étant inséparable d’un dialogue constant avec des auteurs français marquants, d’Alain à Lévi-Strauss, et avec des courants de pensée dont l’audience a été déterminante en France au XXe siècle, parmi lesquels la sociologie et le marxisme.

III. Organisation des travaux

L’organisation des travaux suivra une ligne à la fois textuelle et chronologique, en sept séances dont une journée d’étude. Elle est commandée par les tensions internes aux textes de Sartre, qui oscillent entre un matérialisme de plus en plus strict et la préservation, jamais reniée et parfois radicalisée, de la liberté au cœur de l’aliénation.

Vendredi 21 octobre 2011, de 14h à 17h – « L’approche matérialiste des idéologies : dualisme ou monisme ? » – ENS, 45 rue d’Ulm, 5e arrt, salle Beckett

Après une introduction générale sur la notion d’idéologie dans le marxisme, on cherchera dans la Légende de la vérité (1931), premier essai philosophique de Sartre, une alternative matérialiste au marxisme en vertu de laquelle l’idéologie naît comme un ensemble de pensées et de valeurs enveloppées par un métier, donc comme l’inévitable revers spirituel d’un geste matériel, sans dualisme entre infrastructure et superstructures.

Vendredi 18 novembre 2011, de 14h à 17h – « Alain et Bergson versus Sartre et Foucault : l’aporie de l’origine » – ENS, 45 rue d’Ulm, 5e arrt, salle de séminaire au sous-sol Pasteur

Tout en montrant en quoi la Légende de la vérité s’inspire d’Alain, source fondamentale et méconnue de Sartre, et plus largement du biologisme de la pensée française aux alentours de 1900, on creusera l’opposition entre des auteurs, tels qu’Alain et Bergson, qui assignent des règles à la pensée, et des auteurs, tels que Sartre et Foucault, pour lesquels une authentique genéalogie de la pensée ne peut se donner aucun point fixe, ni de départ ni d’arrivée.

Vendredi 16 décembre 2011, de 14h à 17h – « Contre le sociologisme : aliénation et liberté » – ENS, 45 rue d’Ulm, 5e arrt, salle de séminaire au sous-sol Pasteur

A l’aide de la section de L’Être et le Néant (1943) sur « Mon prochain », qui dépeint l’homme aux prises avec une condition collective qui le dépasse, on verra comment Sartre, après avoir tout concédé à la sociologie, renverse l’aliénation en primat de la liberté, mais au risque d’un retournement supplémentaire : si les règles sociales sont une sédimentation de la liberté comme le montre Sartre, la liberté s’y aliène du fait d’activement les sous-tendre.

Vendredi 20 janvier 2012, de 14h à 17h – « Retour au matérialisme : entre Braudel et Lévi-Strauss » – ENS, 45 rue d’Ulm, 5e arrt, salle des Actes

La Critique de la raison dialectique (1960) développe des analyses inattendues de la naissance des idées. Parmi elles, une réinterprétation de Braudel sur la circulation de l’or espagnol pousse le matérialisme à ses dernières extrémités, tandis que, dans une première passe d’armes avec Lévi-Strauss, Sartre plaide le caractère second, ossifié et en extériorité, de la connaissance qu’une société prend d’elle-même, ce qui explique le passage de la praxis aux structures, retombées inertes du travail qu’un groupe opère sur soi.

Vendredi 16 mars 2012, de 14h à 17h – « Confrontations avec le marxisme : la question de la conscience de classe » – ENS, 45 rue d’Ulm, 5e arrt, salle des Actes

Si la Critique de la raison dialectique qualifie le marxisme d’horizon indépassable de notre temps, elle bataille en fait rudement contre lui, et notamment sur le thème de la formation de la conscience de classe dont Sartre donne, sur l’exemple de l’anarcho-syndicalisme du XIXe siècle, une analyse implacablement matérialiste qui discerne une irréductible mystification à la source de toute construction éthique, dont l’éthique ouvrière du travail.

Vendredi 4 mai 2012, de 9h30 à 12h30 et de 14h à 17h – Journée d’étude sur : « Idéologie, morale et histoire dans le manuscrit Cornell » – ITEM, 59/61 rue Pouchet, 17e arrt, salle 124

En 1964-1965, Sartre rédige plus de 400 feuillets sur les relations entre morale et histoire pour des conférences à donner à l’Université de Cornell. Ces esquisses, restées largement inédites, exacerbent la tension interne à la réflexion de Sartre en plaçant plus que jamais les idéologies au niveau des infrastructures, dans la veine de la Légende de la vérité et de la Critique, mais en radicalisant aussi l’investissement de la liberté dans les valeurs, renouant ainsi avec L’Être et le Néant pour tenter une synthèse entre l’éthique kantienne et le positivisme sociologique.

Journée d’étude avec des membres de l’équipe Sartre de l’ITEM ainsi que (sous réserve) : Emmanuel Barot, Didier Eribon, Jean-Michel Salanskis, Juliette Simont, Frédéric Worms.

Vendredi 1er juin 2012, de 14h à 17h – « Le paradoxe éthique : Bourdieu avec Kant » – ENS, 45 rue d’Ulm, 5e arrt, salle Histoire

Une section inédite du manuscrit « Cornell » offre l’opportunité de plonger au cœur de ce que Sartre appelle le paradoxe éthique, qui est aussi le paradoxe des idéologies : les idéologies prennent racine dans des impératifs sociaux et matériels incorporés par l’individu, mais cette incorporation même en fait autant d’éthiques vécues comme des impératifs catégoriques, comme si Bourdieu rejoignait Kant.

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UNIVERSITÉ PARIS 1 PANTHÉON-SORBONNE

EA 3562 PHILOSOPHIES CONTEMPORAINES/ EXeCO



SÉMINAIRE FOUCAULT


Animé par Jean-François Braunstein



Programme 2011-2012



Samedi 22 octobre 2011

Didier Eribon (Université de Picardie - Jules Verne)

Les maladies du pouvoir : épidémiologie des sociétés contemporaines



Samedi 19 novembre 2011

Daniel Defert

Présentation de l’édition des Leçons sur la volonté de savoir



Samedi 21 janvier 2012

Daniele Lorenzini (Université Paris Est-Créteil/Università "La Sapienza" di Roma)

Le rôle de la vérité dans la généalogie foucaldienne du sujet moderne



Samedi 18 février 2012

José-Luis Moreno-Pestaña (Université de Cadix)

Sortir de la scolastique pour étudier la philosophie : le cas de Michel Foucault



Samedi 17 mars 2012

Luca Paltrinieri (Laboratoire Triangle-ENS Lyon)

Volonté de savoir et volonté de vérité. A partir du Cours de 1970-1971



Samedi 7 avril 2012

Judith Revel (Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne)

Une histoire des « jeux de vérité ». Foucault et l'accusation de relativisme



Samedi 19 mai 2012

Bruno Karsenti (EHESS)

Gouvernement et société chez Michel Foucault



Les séances ont lieu de 10h30 à 12h30 à l’UFR de philosophie de la Sorbonne, 17 rue de la Sorbonne, escalier C, premier étage, salle Lalande.

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Jeudi 10 novembre, 9h-17h30, Colloque International « Comment surmonter les crises du présent : quel avenir pour l’Europe ? » : Philosophie et sciences sociales autour de la pensée de Jürgen Habermas, organisé par PHILéPOL.
Avec la participation de : Jürgen HABERMAS, Axel KAHN, Yves Charles ZARKA, Pascal PERRINEAU, Alain LAQUIÈZE, Jean-Marc FERRY, Gérard RAULET, Joseph COHEN, Isabel WEISS, Alice LE GOFF, Christian GODIN, Virginie MARIS, Fabienne BRUGÈRE, Marc GUÉRIN, Frédéric KECK, Pierre MATARASSO. — Jürgen Habermas y présentera une conférence sur "La crise de l’union européenne" dont les thèses seront ensuite discutées dans une table ronde à laquelle participeront : Pascal Perrineau (CEVIPOF, Sciences po.), Alain Laquièze (ICEE, Université Paris 3-Sorbonne nouvelle, Jean-Marc Ferry (Université Libre de Bruxelles, Gérard Raulet (Université de Paris Sorbonne) et Yves Charles Zarka (PHILéPOL, Université Paris Descartes). Interviendront également : Joseph Cohen, Isabel Weiss, Christian Godin, Alice Le Goff, Frédéric Keck, Virginie Maris, Fabienne Brugère, Marc Guérin, Pierre Matarasso.

- Lieu : Université Paris Descartes, Salle du conseil, 12, rue de l’Ecole de Médecine 75006 Paris
- Inscription (vivement recommandée) : philosophie.epistemologie@​gmail.com

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COLLOQUE INTERNATIONAL -
LA NOTION DE CULTURE EN SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES - UN DIALOGUE AVEC MARSHALL SAHLINS

Présentation


Se référer à la culture pour comprendre les comportements humains est à la fois inévitable et insatisfaisant. Peut-on concevoir une étude en sciences sociales qui ne prendrait en compte ni le langage, ni la religion, ni l’esthétique, ni les valeurs, ni les formes symboliques en général ? D’un autre côté, rendre raison des comportements des individus par leur culture conduit à une impasse : on sait bien que les individus ne sont jamais soumis à une culture, qu’ils adoptent des stratégies culturelles et qu’ils peuvent en changer. Loin d’être les produits d’une culture, les acteurs font les signes et les symboles, ils les inventent et les manipulent. Pourtant, même si la culture n’est nullement une « cage » symbolique, force est de constater que les critiques fonctionnalistes, structuralistes, marxistes, utilitaristes et plus récemment postmodernes et cognitivistes du culturalisme ne sont jamais venues à bout de la notion de culture elle-même. En quoi est-elle toujours utile à nos disciplines ? Quelles sont ses limites heuristiques ? Comment contrôler la pertinence de la référence à la culture dans nos recherches ? Quels sont nos usages de cette notion en linguistique, en sociologie, en démographie, en philosophie, en sciences de l’éducation et en anthropologie ?


Dans cette perspective, l’œuvre de Marshall Sahlins, l’un des plus grands anthropologues contemporains, nous est particulièrement utile. Son influence excède les limites d’un seul champ disciplinaire : elle touche à l’histoire, à la philosophie, aux sciences économiques, à l’interface entre biologie et sciences humaines. Il ne s’agira pas dans ce colloque de faire une exégèse de son œuvre, mais de présenter la façon dont nous utilisons la notion de culture dans nos recherches en sciences humaines et sciences sociales, sachant qu’elle est au cœur de l’œuvre Marshall Sahlins comme cela apparaît, par exemple, dans son ouvrage intitulé Au coeur des sociétés. Raison utilitaire et raison culturelle (1980).


La veille de la cérémonie du Doctorat Honoris Causa qui lui sera remis en Sorbonne mardi 15 novembre, les participants à ce colloque
international proposent donc un dialogue avec Marshall Sahlins sur l’utilité et la pertinence de la notion de culture en sciences humaines et sociales.


Coordinateur scientifique : Erwan Dianteill, professeur d’anthropologie, [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]


Contact organisation : Rachida Douadi, [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]


Programme


9h00 - Ouverture du colloque par Erwan Dianteill : « La culture comme idée régulatrice des sciences humaines et sociales »



9h30h-11h15 Première session : du Pacifique à l’Atlantique


Présidence : Francis Affergan, Université Paris Descartes


  • Carmen Bernand, Université Paris Ouest Nanterre : « Supplément au voyage de Marshall Sahlins : mythes et histoire(s) dans le Pacifique ibérique (XVIe siècle) »
  • François-René Picon, Université Paris Descartes : « Une péninsule dans l’histoire. La société wayu (Guajiros) de Colombie et du Venezuela. Essai sur des questions caraïbes à la lumière océanienne. Ethnogénèse, structure et événement, culture dans la pratique, ou autres... »
  • Thomas Fillitz, Université de Vienne : « La culture ? Les espaces hétérogènes de la modernité dans les États africains contemporains »


Pause


11h30-12h45 Deuxième session : de la pertinence de la notion de culture en anthropologie, en sociologie et en linguistique


Présidence : Olivier Martin, Université Paris Descartes


  • Jean-Paul Colleyn, Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales : « Chassez-la par la porte, elle rentrera par la fenêtre : l’anthropologie contemporaine et la notion de culture »
  • Eric Letonturier, Université Paris Descartes : « La culture militaire contre la nature humaine ? Une approche sociologique »
  • Patricia Von Münchow, Université Paris Descartes : « La notion de culture discursive : une comparaison des guides parentaux en France et en Allemagne »


12h45- 14h15 Déjeuner


14h15-15h45 Troisième session : de la culture comme concept philosophique et épistémologique


Présidence : Bertrand During, Université Paris Descartes


  • Alain Pierrot, Université Paris Descartes : « Culture ‘profonde’ ou culture de ‘surface’ ? ou l’arrière-plan culturel de la scène multiculturelle »
  • Pierre-Henri Castel, CNRS / Université Paris Descartes : « De quelques conséquences déstabilisantes pour les Français de l’ouvrage La nature humaine : une illusion occidentale de Marshall Sahlins »
  • Yves Chevallard, Université d’Aix Marseille : « Culture, didactique et anthropologie »


Pause


16h-17h15 Quatrième session : culture, migration et développement
Présidence : Michela Marzano, Université Paris Descartes



  • Denys Cuche, Université Paris Descartes : "La découverte de l’Amérique par les turcos ou le dilemme des immigrants palestiniens du Pérou entre culture quechua et culture créole"
  • Yves Charbit et Véronique Petit, Université Paris Descartes : « Culture et rationalité comme éléments d’une démographie compréhensive »
  • Sylvie Pflieger, Université Paris Descartes : « La culture, fondement d’un développement soutenable ? »

17h30 – Cérémonie de remise des insignes de Chevalier des Arts et Lettres à Marshall Sahlins par Philippe Descola, professeur au Collège de France


18 h 30 – Réception / cocktail : 45, rue des Saints-Pères, 75006, (Petit Hall)


Lieu


Paris (75006) (12, rue de l’École de Médecine (Grand amphithéâtre de l’université Paris Descartes)


Date


lundi 14 novembre 2011
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